All-New Deadpool (2016) #5
Contient : Deadpool (2016) #10 à 12 et Spider-Man/Deadpool (2016) #5
Une nouvelle fournée de ce mensuel, qui est, vous
le verrez, un peu en dents de scie (le premier qui dit en « dents de sabre »
gare à ses fesses !)
Deadpool
contre Dents-de-Sabre 3 et 4
Deadpool
(2016) #10-#11
Deadpool, toujours persuadé que Dents-de-Sabre a
tué ses parents, essaie de les venger. Dans ces épisodes, plutôt sympathiques
dirons-nous, on s’amuse assez à voir les combats improbables entre
Dents-de-Sabre devenu assez gentil et un Deadpool très… imaginatif. J’ai pris
du plaisir à me replonger dans le monde de ce mercenaire disert et, malgré un
humour qui ne fait pas toujours mouche (contrairement à Gwenpool & Howard
the Duck, mais j’en reparlerai dans un autre billet), c’est une histoire qui s’apprécie…
contrairement à Deadpool 2099 !
Deadpool
2099 2
Deadpool
(2016) #12
Qu’est-ce que je me suis ennuyé en lisant cet
épisode. Pire encore, les costumes des deux demoiselles sont tellement
similaires que parfois je ne savais plus qui était qui. Une histoire
brouillonne, plutôt déplaisante, un humour qui ne marche pas. Bref, une grosse
déception de mon côté. Je vous laisse découvrir l’histoire si vous le
souhaitez, mais je n’ai guère envie de m’appesantir sur cet épisode.
Spider-Man/Deadpool :
L’amour vache 5
Spider-Man/Deadpool
#5
Deadpool a tué Peter Parker !!! Un contrat a
été mis sur la tête de l’alter ego de Spider-Man par un collaborateur qui
visiblement, ne l’aimait pas trop. Mais Deadpool se rend compte qu’il commet
une erreur et va essayer de ramener notre brave Peter d’entre les morts.
Un épisode qui s’apprécie, assez drôle par
moments, plaisant en général et qui donne envie de lire la suite. En général,
cela suffit à un comics pour le qualifier de réussi sans pour autant l’inscrire
dans les annales de la Maison des Idées.
En somme, un numéro en dents de scie, plutôt
agréable à lire mais qui reste un poil décevant face au potentiel du
personnage. Les auteurs ne se foulent pas en écrivant des histoires convenues
voire brouillonnes (2099). Bref, un petit mensuel.
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