C'est dimanche, donc on profite et on se repose. Bien entendu, c'est toujours embêtant d'être malade lorsque l'on se repose... donc, je vous en prie, pardonnez mes multiples erreurs et probables errements dans ce billet.
Comme le dimanche, on fait les brocantes, je n'ai pas dérogé à ma règle somme toute assez personnelle, et me suis levé aux aurores pour partir à la recherche d'un livre, de timbres ou autres babioles. On peut dire que ce fut décevant. Une vieille BD, quelques timbres italiens, un protège livre ancien et deux livres, le Cinq mars de Vigny dans l'édition des romans historiques (les reliures rouges) et La morte amoureuse et autres contes de Théophile Gautier chez notre vieil ami François Beauval. Quand je dis vieil ami, j'entends que son nom est connu et souvent prononcé, pas que je dîne avec un monsieur probablement mort (ou très âgé?)
Pour la semaine, bilan mitigé côté lecture, j'avais prévu de lire quatre ouvrages, seuls deux sont terminés; j'espère finir dès demain l'excellent livre sur Lesdiguières et en parler un peu. Sinon, parmi les prochaines critiques, vous trouverez:
Bon, la mise en page des images fait sécession...
Je ne prends donc pas trop d'engagement côté lecture car la lecture est un plaisir: je lis parce que ça me plaît et non pour remplir un objectif particulier.
De ces deux livres, j'en attends beaucoup. Zola comble mon attente puisque, je l'avoue, mais chut!, j'ai déjà presque fini le livre. Quant au Dugain, le sujet me tente, le monsieur, que je ne connaissais pas, semble s'intéresser beaucoup au roman politique; j'espère m'y plaire car c'est un domaine que j'apprécie particulièrement. Je serai sans pitié (mouah ah ah).
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